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LE NIGER

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À l'origine apparaissant en volume V19, page 677 de l'encyclopédie 1911 Britannica.
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NIGER, u n See also:

grand See also:fleuve occidental Afrique, inférieur seulement Congo et Nil parmi fleuve See also:continent, et See also:seul fleuve dans Afrique qui, au See also:moyen son tributaire See also:Benue, avoir See also:les moyens un voie d'See also:eau non interrompu par rapids, et disponible pour peu profond-ébauche See also:vapeur, loin intérieur. Se See also:levant à moins de M. 150 de la See also:mer dans la See also:zone montagneuse qui See also:marque les frontières de See also:nord-est la sierra Leone et la Guinée française, il traverse les plateaux intérieurs dans d'une vaste courbe, d'un nord-est débordant, d'un E. et d'un S.e., jusqu'à ce qu'il entre dans finalement See also:le Golfe de la Guinée par un immense See also:delta. Sa longueur totale est m. environ 2600 environ M. 250 de sa bouche qu'il est See also:joint par le Benue, venant de l'est de la région montagneuse d'See also:Adamawa. De sa bouche à la See also:limite du navigability de la mer le fleuve est dans le territoire See also:britannique; au-dessus de ce See also:point il traverse le territoire français. La source du Niger se situe dans 90 5'N. et ro° 47'W., et le plus northerly le point de la grande See also:courbure est au sujet de la région de 17° N. The du See also:bassin du Niger, à l'exclusion See also:des régions arides avec une pente vers le See also:jet, a été calculé par Dr. A. Bludau à 584.000 carrés. m. Le fleuve est connu localement See also:sous de See also:divers noms, être le plus See also:commun Joliba (un mot de Mandigo signifiant le grand fleuve) et Kworra ou Quorra. Par le dernier nom le Niger a été connu dans ses extensions inférieures avant que son identité avec le fleuve supérieur ait été établie.

Le jet a considéré la source en See also:

chef du Niger s'appelle le Tembi. Un étroit la See also:naissance-See also:ligne de partage la sépare des See also:eaux de plus près de la source de l'See also:endroit du fleuve. coule sud-ouest couler par la sierra Leone. Le See also:lieu de naissance du Niger est dans un See also:ravin profond de 2800 See also:pi au-dessus de niveau de la mer. À partir d'une See also:roche See also:mousse-couverte par See also:ressort minuscule publie et a fait une See also:piscine ci-dessous. Ce See also:petit jet est le Tembi, qui sur une distance courte est joint par deux autres rivulets, le Tamincono et Falico, qui ont leur origine dans la même zone montagneuse. Après avoir coulé au nord pour environ le 'm. de Co, le fleuve tourne vers l'est et reçoit plusieurs tributaires du sud. À son confluent avec le Tankisso (un tributaire See also:nordique), M. 210 de sa source, le fleuve a atteint des dimensions suffisamment pour gagner pour lui-même le See also:titre Joliba. Prenant en ce moment une tendance décidée au nord, le Niger, pièce plus See also:bas vers le bas, à la première See also:ville considérable de Bamakothe sur ses bankshas une See also:profondeur de 6 pi avec une largeur de 1300 pi. See also:Sept ou huit See also:milles au-dessous de Bamako le Sotuba bascule la marque la See also:fin de ce qui peut être considéré le fleuve supérieur. De ce point la See also:partie navigable du Niger commence.

See also:

Trente milles au-dessous de Sotuba sont les rapids de Tulimandio, mais ce sont navigables quand le fleuve est à son plus haut, à savoir à partir de See also:juillet à octobre. Dune inférieure est Kulikoro, lequel du point le See also:lit du jet pour m. r000 fini est See also:assez exempt des empêchements. Le fleuve ici se tourne plus directement vers l'est et augmente en See also:volume et profondeur. Chez Sansandig le jet est assez profond à l'autorisation des vapeurs de la See also:taille considérable maniant sur le fleuve. Après que Sansandig soit passé les See also:banques le du jet deviennent le bas et le Niger est fractionné dans le See also:milieu un See also:certain nombre de canaux. Mopti est à la jonction du Niger et le jet See also:principal avec un grand See also:lac droit de mare ou le tributaire, le Bani ou le Mahel Balevel, sur lesquels région. est situé la ville importante de See also:Jenne. Les banques du Niger au-dessous de Mopti deviennent swampy et déboisées, et le See also:premier d'une série de lacs (Debo) est atteint. See also:Ces lacs sont principalement du côté gauche du jet principal, auquel ils sont reliés par des canaux transportant dans l'eau une direction ou l'autre selon la See also:saison. À la haute eau plus de ces derniers sont unis dans un inundation général. Le plus grand lac, Faguibini, est M. presque 70 See also:longtemps par M. 12 large, a des rivages de haute et atteint une profondeur excédant, dans les pièces, 1õ pi.

Il n'est pas jusqu'à Kabara, le See also:

port de See also:Timbuktu, est atteint, une distance de M. 450 de Sansandig, que le See also:labyrinthe des lacs, des criques et des mares cesse. Au-dessous de Kabara le fleuve atteint son le plus northerly point. Chez Bamba il est fermé dedans par les banques raides et se rétrécit à 600 à 700 yds., écartant encore hors d'une certaine distance vers le bas. Chez Barka (M. 200 de Timbuktu) le jet tourne le sud-est et les conserves See also:cette direction dans tout le See also:reste de son cours. Chez Tosaye, juste avant que la courbure devienne prononcée, les roches de Baror et de Chahar ramènent la largeur du fleuve à moins de 500 pi, et à la See also:basse eau la force du See also:courant est un danger sérieux à la navigation. Au-dessous de Timbuktu pour une distance considérable le Niger ne reçoit aucun tributaire; du nord aucun jusqu'à la région du Sahara n'est passé. Les endroits les approches de désert près du fleuve sur les deux banques et immenses See also:dunes de See also:sable complètent l'See also:horizon. Chez Ansongo, 430 M. au-dessous de Timbuktu, l'extension navigable du Niger moyen, dans tout le m. 10J7, finit. Quatre roches énormes de See also:silex barrent le fleuve chez Ansongo et empêchent effectually davantage de navigation excepté dans des navires très petits. D'Ansongo à dire, un certain m.

250, le fleuve traverse plusieurs passages rocheux, le courant atteignant la grande See also:

vitesse. Dans toute cette distance le fleuve est un labyrinthe désespéré des roches, des îles, des récifs et des rapids. De la parole, où le jet est environ 700 yds. dans la largeur, à Bussa, il y a un autre See also:bout droit navigable de l'eau prolongeant 300 M. After que la région de désert est après le Niger reçoit les eaux du fleuve See also:Sokoto, un jet considérable découlant du nord-est. Une certaine distance au-dessous de ce confluent sont les rapids de See also:Bussa, qui peuvent seulement être dirigés avec la difficulté considérable. Ces rapids de Bussa et fleuve inférieur. 675 Sapele. Les autres bouches occidentales du Niger ont en tant que barres peu profondes et difficiles d'un See also:tour. Le delta est le plus grand en Afrique et See also:couvre 14.g0o carré. m. Le Benue est de loin le plus important des affluents du Niger. Le nom signifie dans la See also:langue "mère de See also:Batta des eaux." Le fleuve se lève dans Adamawa dans environ 7° le ô 'N. et 13° 15 'E., le Benue.

un petit nord de la ville de Ngaundere, à une taille de plus de 3000 pi au-dessus de la mer, étant séparé par un départ étroit de l'eau d'un des headstreams du Logone, dont les eaux coulent dans le lac Tchad. Dans son cours supérieur le Benue est un torrent de See also:

montagne tombant plus de 2000 pi. dans un certain m. d'Igo avec le système du Tchad il est relié par le Kebbi ou See also:Mayo Kebbi, un tributaire droit dont le confluent est dans environ 92° N., 131° E. The Kebbi, nourri par beaucoup de torrents se levant dans le versant See also:oriental des See also:collines de Mandara, issues de l'extrémité de S.w. des See also:marais de Tuburi. Ces marais occupent une dépression étendue dans le See also:plateau modérément élevé à l'est des collines de Mandara, et sont coupés par le to° N., pièce centrale de 15° E. The des formes de marais un lac profond, d'où il y a un See also:canal allant au nord au Logone et navigable pendant quelques See also:mois pendant l'année. Le Kebbi coule à l'ouest, et peu après être parti '1 uburi traverse une barrière rocheuse marquée de par une série rapids et une chute chez Lata de 165 pi. Au-dessous de ces obstructions le Kebbi à sa jonction avec le Benue a une profondeur de pas moins de 6 pi. Dans les endroits, comme Lere et Bifara, il s'élargit dans lac-comme des dimensions. Au-dessous du confluent de Kebbi le Benue, maintenant un fleuve considérable, tourne de a northerly à une direction de westerly et est navigable toute l'année ronde en des See also:bateaux dessinant pas plus de 22 pi. Pour un certain M. 40 au-dessous du confluent le fleuve a une largeur See also:moyenne de 180 à 200 yds., et coule avec un courant régulier fort, bien qu'une large See also:bande de See also:pays de chaque côté soit swampy ou submergée. Il est ici joint par le See also:Faro, qui, se levant dans les See also:montagnes S.e. d'Adamawa de Ngaundere, des écoulements presque directement au nord. Au sujet de ö le m. au-dessous de la jonction du Faro est Yola, le See also:capital d'Adamawa.

Il se trouve du côté méridional du Benue, m. un certain 8ö par le fleuve de la mer et à une See also:

altitude de 600 pi. Ici la largeur du jet augmente au See also:temps d'See also:inondation le MOO ou le 'goo yds., et à bien qu'il rétrécisse aux rapids quelque peu dangereux de Rumde Gilla à 1ö heu 180 yds., elle augmente bientôt encore. M. environ 50 au-dessous de Yola que le Benue reçoit, sur la banque droite, le Gongola, qui se lève dans les montagnes de See also:Bauchi et après qu'un grand nord-est de courbe tourne au sud. Il est plus de m. 300 longtemps, et à l'inondation le temps est navigable pour environ la moitié de son cours. Le Benue reçoit plusieurs autres tributaires le nord du et le sud, mais ils ne sont pas de grande importance. Elle coule en avant dans le Niger avec le courant comparativement dégagé, ses vallées marquées pour la plupart par des gammes des collines et ses banques diversifiées avec des forêts, des villages et des régions cultivées. Mais entre bien que le rapidsthough d'exception un non tel See also:obstacle au navigationare d'un caractère plus dangereux que produits Ansongo et parole "dans un passage, un certain S4 yds. au loin, en ait fermé entre deux grands récifs, une bonne moitié des eaux du Niger se jette plus d'avec un hurlement énorme" (Hourst). Pour les rapids prolongez ainsi le m. ou plus; sous à une See also:forme moins obstructive ils continuent See also:Rabba, mais vapeurs d'lumière-ébauche See also:montant le jet pendant l'expérience de saison d'inondation peu de difficulté dans Bussa d'atteinte. Au-dessus de Rabba le fleuve fait un sud-ouest de See also:boucle, à la tête de la boucle étant (banque droite) Jebba. Ici le fleuve See also:pont par le See also:chemin de See also:fer de See also:Lagos. Soixante milles de dune inférieure est la bouche du tributaire (de See also:main See also:gauche) le Kaduna, un fleuve d'une certaine grandeur qui donne l'accès à Zungeru, les sièges sociaux de l'See also:administration britannique au Nigéria nordique.

Les eaux See also:

principales du Kaduna ne sont pas loin de See also:Kano. Au-dessous de la bouche du Kaduna, sur la banque droite du Niger, est la See also:grange, le point de départ d'un chemin de fer à Kano. Dans le E. de 7° 50'N. 6° 45'le Niger est joint par son grand tributaire le Benue. De à leur confluent le Niger est environ trois quarts un See also:mille large et le Benue un peu plus qu'un mille. Avec le jet See also:uni forme a lac-comme l'expansion environ 2 See also:po de largeur, pointillée des îles et des sandbanks; la péninsule à la jonction est basse, swampy, et intersecté par de nombreux canaux. Sur la banque occidentale du Niger est en ce moment See also:Lokoja situé (q v.), un centre commercial important. Le jet, en tant que sud lointain comme Iddah (See also:Ida), une ville sur la banque est, précipitations par une vallée ont coupé entre les collines, les falaises de grès à quelques endroits se levant 150 pi de haut. Entre Iddah et Onitsha, m. 8o, les écheveaux sont inférieur et le paroir de pays, et au sud d'Onitsha toute la See also:terre est étendue sous l'eau pendant le T See also:annuel il delta, inonde. Ici peut être dit de commencer le grand delta du Niger, qui, se prolongeant le See also:long de la côte pour m. environ 120, et 140 ou 1ö m intérieur, les formes une du plus remarquable de toutes les régions swampy de l'Afrique. Le fleuve se See also:casse en un réseau complexe des canaux, se divisant et subdivisant, et intercrossing non seulement avec l'un l'autre mais avec les branches d'autres jets, de sorte qu'il soit excessivement difficile de dire où des extrémités de delta du Niger et un système différent de fleuve commence.

La See also:

nonne de Rio est une See also:suite directe de la ligne de l'allié non réparti librement d'obstruction par des rapids, le fleuve See also:tombe très bas dans le fleuve, et est ainsi la bouche principale de la saison sèche du Niger, et pendant sept à huit mois est presque inutile pour le navi- de la mer que la seule indication d'une See also:embouchure est une coupure dans les palétuviers See also:vert-foncé qui fringent ici universellement la côte. Le See also:croisement de la See also:barre exige le soin considérable, et à la marée de reflux le courant extérieur court 51 noeuds par See also:heure. Pour les 20 premières See also:lignes denses de M. (ou jusque île de See also:dimanche, la limite de la marée de mer dans la saison sèche) des palétuviers 40, le ö, ou le õ pi dans la taille a fermé dans le canal; puis la See also:paume et d'autres arbres commencent à apparaître, et le fleuve d'élargissement a les banques régulières. À l'est de la nonne les estuaires connus sous le nom de See also:laiton, See also:Sombrero, nouveau See also:Calabar, Bonny, Opobo (ou Imo), &See also:amp;c. (à l'exception, peut-être, du premier-appelé), semblent dériver la majeure partie de leur eau des jets indépendants tels que l'Orashi, se levant dans environ 6° N., qui est, cependant, lié avec le Niger par la See also:crique d'Onita dans 51° N. Behind la ville d'Okrika, quelques 30 M. Up le fleuve de Bonny, la terre swampy donne l'endroit à la terre See also:ferme, partiellement forêt-plaquée à l'ouest de la nonne que tous les estuaires jusqu'au Forcados semblent être les bouches vraies du grand fleuve, tandis que le fleuve du Bénin, cependant lié aux autres par les canaux transversaux, peut plus correctement être considéré comme un jet indépendant. (Voir le BÉNIN.) Avec de dans cette direction la plus grande bouche est le Forcados, un jet See also:noble un See also:coffre-fort et barre relativement profonde ses banques dans son cours inférieur sont en masse boisé, mais la See also:plage est arénacée et presque exempte le marais et la See also:malaria. La bouche est M. 2 au loin. Elle a supplanté le fleuve de nonne comme canal en chef de communication avec l'intérieur. Il y a 17 à 19 pi.

de l'eau au-dessus de la barre de Forcados, par comparaison avec 13 pi. à la bouche de nonne. D'ailleurs la barre de Forcados décale peu latéralement, et dans la barre est un port normal avec un See also:

secteur de 3 à 4 carrés. m. ayant une profondeur du ó pi. à de basses marées de ressort de l'eau. De la bouche du Forcados à la force le jet est l''og po, avec une profondeur minimum dans la saison sèche de 7 pi. Un See also:bras nordique a les moyens les navires de haute mer accèdent Wari au et gation. Le Benue se trouve en dessous du territoire britannique à un M. du point 3 au-dessous de la bouche du Faro, dans environ le E. de 13° 8'à l'est de ce point que le fleuve est dans la See also:colonie See also:allemande du Cameroun. Car le Niger et le Benue ont différentes raisons sourcilleuses, ils ne sont pas dedans inondation en même temps. Le Niger supérieur se lève en en See also:juin comme résultat des pluies tropicales, et diminue inondation et décembre, largeur de n s chez Turella augmentant de entre le bas 2000 et 2500 pi. pas à moins que le m. d'cIz le milieu assaisonne. Le Niger, cependant, atteint son Timbuktu proche maximum seulement en See also:janvier; en février et See also:mars où il descend lentement au-dessus du se rétrécit de Tosaye, et plus rapidement au-dessous d'eux, le niveau continué par des approvisionnements des mares et des lacs; et en See also:avril il y a une diminution d'environ 5 pi. En août le canal près de Timbuktu est encore navigable dû à la See also:pluie dans les montagnes méridionales.

Le Benue atteint sa plus grande taille en août ou See also:

septembre, commence de tomber en See also:octobre, tombe rapidement en See also:novembre et lentement en trois mois suivants, et atteint son plus bas en mars et avril, quand il est fordable dans beaucoup d'endroits, n'a aucun écoulement perceptible et au confluent commence à être couvert d'élodée Pistea Siratiotes. L'inondation se lève avec la grande rapidité, et atteint 50, õ, ou même 75 pi au-dessus de la marque de l'bas-eau. Les deux confluents étant si différents, le fleuve uni diffère de chacun sous l'See also:influence de l'autre. Ici le fleuve est à son plus bas en avril et See also:mai; en juin il est sujet à de grandes fluctuations; au sujet du milieu d'août il commence habituellement à se lever; et son maximum est atteint en septembre. En octobre il descend, souvent rapidement. Une légère élévation en janvier, connu sous le nom de yangbe, est occasionnée par l'eau du Niger supérieur. Entre la haute et la marque de l'bas-eau la différence est pas moins de 35 pi. Les changements géologiques qui sont intervenus dans le bassin du Niger sont imparfaitement connus. Les scientifiques français E. F. See also:Gautier et R. Chudeau, résumant l'évidence disponible en 1909, ont déterminé l'hypothèse que le Niger supérieur existant géologique et le Niger inférieur existant étaient les changements distincts de jets.

Selon cette théorie le Niger supérieur, légèrement en haut où de Timbuktu les stands maintenant, sont allés nord et au nord-ouest et ont vidé dans le Juf, qui dans le commencement de l'âge See also:

quaternaire était un lac d'eau de mer, le reste d'un bras de la mer qui dans l'âge See also:tertiaire a couvert le Soudan nordique et le Sahara méridional comme l'Extrême-Orient comme See also:Bilma. Le lac Fagubini est considéré comme un reste du cours See also:antique du fleuve supérieur. Quand le Niger supérieur a eu cette direction, le See also:Wadi Taffassassent, maintenant un fleuve sec-vers le haut du Sahara central, qui s'est levé dans les montagnes d'Ahaggar, est censé pour avoir formé le cours supérieur du Niger inférieur existant. Tandis que les parties supérieures et plus inférieures du Niger ont tout l'See also:aspect des jets antiques, le Niger moyen est le résultat d'une "See also:capture récente; "il n'a non après, il n'a à peine un actuel" (voyez R. Chudeau, soudanais du Sahara, See also:Paris, 1909). Des idées See also:vagues de l'existence du fleuve ont été possédées par les ancients. Le grand fleuve coulant vers l'est a atteint par le Nasamonians comme rapportée par See also:Herodotus ne peut être aucune See also:histoire autre que le Niger. See also:Pliny mentionne un fleuve Nigris, et ploration ex. de la même nature avec le Nil, séparant l'Afrique et l'Ethiopie, et formant la frontière de See also:Gaetulia; et il n'est pas improbable que ce soit le Niger See also:moderne. Dans Ptolemy, aussi, apparaît avec Gir (probablement le See also:Shari) un certain Nigir (N1-yap) en tant qu'un des plus grands See also:fleuves de l'intérieur; mais si See also:vague est sa description qu'il est impossible certainement de l'identifier avec le Niger.' Les geographers See also:Arabes, tels qu'See also:Ibn Batuta, qui ont été mis au courant du cours moyen du fleuve, l'ont appelé le Nil des nègres. En même temps des avis contradictoires ont été tenus quant au cours du jet. Il a été censé par quelques geographers See also:courir l'ouest, une See also:opinion probablement d'abord indiquée par See also:Idrisi au 12ème siècle.

Idrisi a donné le Nil de l'Egypte et le Nil des nègres une source See also:

commune dans la montagne de la See also:lune. Les fontaines de la montagne ont formé deux lacs, d'où les jets publiés qui ont uni dans un lac très grand. Ce troisième lac publié deux riversthe le Nil de de l'Egypte coulant au nord et celui des nègres coulant à l'ouest (voyez R., See also:Dozy et Edrisi de M. J. de See also:Goeje's, See also:Leyde, 1866: Premier See also:ministre See also:Climat, 4 1ères sections). De la description d'Idrisi il s'avérerait qu'il a considéré le Shari, lac Tchad, le Benue, Niger et le Sénégal en tant qu'un grand fleuve qui a vidé dans l'Atlantic.2 que le Niger a coulé à l'ouest et a atteint l'océan a été également énoncé par Leo See also:Africanus. La croyance qu'une See also:branche occidentale du Nil s'est vidée dans l'Océan See also:atlantique a été tenue par See also:prince See also:Henry du Portugal, qui a instruit les navigateurs il a expédié à la Guinée pour rechercher la bouche du fleuve, et quand dans 1445 ils ont présenté l'See also:estuaire du Sénégal le Portugais ont été convaincues qu'ils avaient découvert le Nil des nègres (voir la découverte d'See also:Azurara et la conquête de la Guinée, du Beazley et de la See also:traduction, du See also:vol. ii., de Londres, de 1899, des gerçures, du lx. et du lxi., et de l'introduction et des notes de préphase). Le Sénégal étant avéré un fleuve indépendant et l'écoulement à l'est du Niger assumé, la théorie qu'il a courue dans le Nil a été rétabli, et presque à l'année même l'où le cours du fleuve était réellement des geographers et des voyageurs démontrés, tels que J. See also:G. See also:Jackson dans son See also:empire de Marocco, a édité la première fois en 1809, combattu avec zèle pour l'identité du Nil des nègres avec le fleuve de l'Egypte. L'autorité scientifique la plus élevée du See also:jour, See also:James principal See also:Rennell, cru, cependant, de que le Niger a fini, par évaporation, dans le pays de "See also:Wangara" une région située près de lui, par mal interpréter Idrisi, loin trop de 1 See also:monsieur Rufane See also:Donkin dans un travail curieux et instruit, une dissertation dessus. . . le Niger (1829), fait le Niger adhèrent au Gir, que le dernier jet il appelle le Nil de See also:Bornu.

Phoenix-squares

Le fleuve uni a couru le nord, a disparu sous terre au Sahara et a atteint le méditerranéen "aux quicksands du gulph de Sidra." Donkin l'a cru que le désert, avançant vers l'est, accablerait le Nil égyptien également dans son cours inférieur "le delta," hurle, "deviendra un quicksand plashy, un deuxième Syrtis! et le Nil cessera d'exister de la See also:

cataracte inférieure en bas." 2 entre l'See also:hydrographie de l'Afrique centrale nordique comme maintenant connue explique en grande partie la croyance médiévale dans un raccordement les fleuves occidentaux et le Nil égyptien. Laissant hors de considération la description de Welle-See also:Ubangi (et d'Idrisi des deux See also:Niles peut impliquer une See also:connaissance de ce jet, qui a été censé par See also:Schweinfurth faire partie du système du Tchad), il y a une voie d'eau presque continue de la bouche du Sénégal à celui du Nil. Les eaux supérieures de la branche de Bakoy du Sénégal et ceux du Niger navigable sont moins m. de 40 à part; le Niger communique directement par le Benue, lac Tuburi et le Logone avec le Shari; les affluents easternmost le Shari et les tributaires les plus occidentaux du de l'affluent de EL Ghazel de See also:Bahr du Nil sont à moins 20 de m. d'un des autres. Avec mais trois porterages courts un bateau ont pu être dirigés la totalité de cette distance. D'ailleurs, du confluent du Ghazel le Nil est navigable (à la haute eau) la distance entière au méditerranéen. (voir également le SHARI.)to dans l'est, entre E. 150 et 200 (voir la See also:carte de Rennell les voyages de See also:Hornemann, 1802). À Rennell le Benue était une suite est-débordante du 3 du Niger que l'existence imaginée de mountainscalled See also:Kong dans l'ouest et Komri (lunaire) dans eaststretching dans une haute et ininterrompue chaîne à travers l'Afrique au sujet du ro° N. a longtemps empêché des geographers de penser à une courbure méridionale possible au Niger. Que le vaste réseau des fleuves sur la côte de Guinée, de laquelle la nonne était la en chef, connu comme fleuves d'See also:huile, a formé le delta du Niger ne semble pas avoir été suspecté avant le début du 19ème siècle. En conséquence c'était de la direction de sa source que le fleuve a été exploré la première fois dans des temps modernes. En le See also:parc 1795 de mungo (q.v.) a été envoyé par l'See also:association africaine, et était le premier Européen pour voir et décrire le fleuve supérieur.

Garez débarqué chez la Gambie, et frappé le Niger près de Segu (une ville une certaine distance au-dessus de Sansandig) sur le 20ème juillet 1796, où il beheld il "scintillant dans le See also:

soleil de See also:matin aussi large que la Tamise à Westminster et coulant lentement dans l'à l'est" (des voyages, 1er ED p. 194). Il est descendu le fleuve une certaine distance, et sur son See also:voyage de retour a monté le jet jusque Bamako. En parc 1805 retourné en Afrique afin de descendre le Niger à sa bouche. Il a commencé en tant qu'avant à partir de la Gambie, atteinte le Niger, navigué en bas du fleuve après Timbuktu, et la veille de l'accomplissement réussi de son entreprise a perdu sa vie pendant une attaque sur son bateau par les indigènes chez Bussa (novembre ou déc. 1805). Le parc tenu sur l'opinion que le Niger et le Congo étaient un fleuve, cependant en C. 1802 G. Reichard, un geographer See also:allemand, avait suggéré que la nonne de Rio ait été la bouche du Niger.4 dû à la mort du parc les résultats de son deuxième voyage ont été perdus, et le travail a dû être commencé à nouveau. En 1822 See also:commandant A. G. See also:Laing (qui avait atteint Timbuktu par See also:Tripoli) a obtenu de l'information précise au sujet des See also:sources du fleuve, et dans 1828 l'explorateur français que Rene Caillie est allé en bateau de Jenne au port de Timbuktu. En 1826 Bussa a été atteint du Bénin par See also:Hugh See also:Clapperton, et son domestique See also:Richard See also:Lander.

Sur la mort Richard Lander et son frère de Clapperton See also:

John a mené dans 18ó une expédition qui est allée sur terre de Badagry au Niger. Canoeing en bas du fleuve du m. de Yawriõ au-dessus de Bussato la bouche de la nonne de Rio ils ont finalement arrangé le doute quant au cours inférieur du jet. En See also:Macgregor 1832 See also:Laird a établi African Steamship Company, et Richard Lander et R. A. K. See also:Oldfield (comme membres en sa première expédition) est monté le Niger à Rabba, et le Benue jusque Dagbo (m. 8o). En 1841 une expédition, se composant de trois vapeurs de la See also:marine britannique, sous dû au le See also:capitaine (après, est allée jusqu'à Egga (Egam), mais a été forcée de retourner la maladie See also:amiral) H. D. Trotter et la mortalité. Heinrich See also:Barth (1851-1854) fait connaître en Europe le cours du fleuve de Timbuktu pour dire Barth a navigué vers le bas de Saraiyamo (situé sur un sud-ouest de jet de tributaire de Timbukutu) à Kabara; a alors bordé la banque gauche à une petite ville appelée Bornu dans 16° N., et la droite de là à la parole. Dans 188o-1881 E. R.

See also:

Flegel allemand est monté le Niger à Gomba See also:vis-à-vis du confluent du fleuve de Sokoto avec le jet principal, et au sujet de m. 7o au-dessous du point southmost de Barth. Zweifel et Moustier, envoyé par M. Verminck, un négociant de See also:Marseille, ont découvert que (1879) les sources du Falico, &c., et dans 1885 la source de Tembi ont été visitées par capitaine Brouet, un officier français. En effet les See also:additions à la connaissance du Niger pendant les deux dernières décennies du 19ème siècle étaient en grande partie le travail des See also:officiers français occupés dans la See also:prolongation de l'influence de Français dans l'ensemble du Soudan occidental. De 1880 et après colonels (après général) See also:Gallieni a pris une principale partie dans les opérations sur le fleuve supérieur, où 1883 un petit gunboat, Niger, a été lancé pour la See also:protection des poteaux français nouvellement établis. En 1885 un voyage a été fait par capitaine Delanneau Ín James 1816 McQueen correctement deviné qu'il y avait un grand tributaire ouest-débordant (le Benue) au Niger, et qu'après son confluent le fleuve a fonctionné au sud à l'Océan atlantique. Voir la sa vue de l'Afrique centrale nordique (1820 et aperçu géographique de l'Afrique (1840). 4 voir les geographiques d'Ephemerides, vol. XII. (See also:Weimar, Août 1803). après les ruines de Sansandig, jusque Diafarabe.

Dans 1887 le gunboat fait un voyage plus prolongé, atteignant le port de Timbuktu, et corrigeant tracer du fleuve vers le bas à ce point. En 1894-1895 l'See also:

attention a été dirigée vers le Niger moyen et inférieur, auquel plusieurs expéditions commencées à partir de la côte de la Guinée. Une expédition plus importante de distillateur était See also:celle de See also:lieutenant Hourst, qui, à partir de Timbuktu en janvier 1896, a dirigé le Niger de ce point à sa bouche, exécutant un aperçu soigneux le du le fleuve et les diverses obstructions à la navigation. Un voyage fait en 1897 par lieutenant de Chevigne a prouvé entre qu'à la basse eau la See also:section Timbuktu et Ansongo présente de grandes difficultés, mais le voyage de Timbuktu à la parole encore a été avec succès accompli en 1899 par capitaine Granderye. En 1901 le capitaine E. See also:Lenfant est monté le fleuve avec un flotilla de sa bouche à la parole, et il a démontré "la praticabilité normale" de l'itinéraire, en dépit des rapids de Bussa. Le delta du Niger a été partiellement examiné depuis que c'est devenu territoire britannique par les divers capitaines de bateau, fonctionnaires de Royal Niger Company et d'autres, y compris monsieur Harry See also:Johnston, See also:consul autrefois britannique pour les fleuves d'huile. En plus du jet principal, le bassin du Niger a été fait connaître par exploration pendant le dernier trimestre du siècle peu disposé et des premières années du peu disposé. Les voyages du voyageur allemand G. A. See also:Krause (nord la côte d'See also:or, 1886-1887) et de capitaine français Binger (Sénégal en Côte d'See also:Ivoire, r887-188g) ont défini la première fois ses See also:limites méridionales en indiquant la prolongation du nord inattendue des bassins des jets de côte de Guinée, particulièrement la Volte et le Komoe, un fait qui a expliqué l'See also:absence des tributaires importants dans la courbure du Niger. Ceci a été croisé pour la première fois, dans sa plus pleine ampleur, par See also:colonel P. L. See also:Monteil (français) en 1890-1871.

À l'extrémité orientale du bassin beaucoup de lumière a été jetée sur le système du Benue. En 1851 Barth croisé le Benue à sa jonction avec le Faro, mais la région de ses sources a été exploré la première fois par Flegel (1882-1884), qui a traversé le bassin méridional de totalité du fleuve et a atteint Ngaundere. D'autres voyageurs allemands ont ajouté à la connaissance des tributaires méridionaux, du Tarabba, de See also:

Donga et de d'autres, qui sous les pluies réduisent une grande eau superficielle des montagnes d'Adamawa méridional. Les voyageurs britanniques qui ont effectué le travail dans la même région sont monsieur W. See also:Wallace, L. H. Moseley, W. P. Hewby, P. A. See also:Talbot et capitaine Claud See also:Alexander. Les deux derniers étaient des membres en expédition menée par Lieut.

See also:

Boyd-Alexander, que lui-même a croisé l'Afrique du Niger au Nil. Messieurs Talbot et Claud Alexander ont examiné le pays entre Ibi sur le Benue et lac Tchad, traçant (1004) une partie considérable du Gongola.' Dans 18J4 au le Benue avait lieu M. 400 monté par l'expédition de "See also:Pleiad", et en 1887 E. 13-°, elle-même et le Kebbi à Bifara par Major (après monsieur See also:Claude) See also:Macdonald, davantage de progrès vers le marais de Tuburi empêché par le shallowness de l'eau. Le bassin supérieur du Benue a été également traversé par les expéditions françaises de Mizon (1892) et See also:Maistre (1892-1893), le dernier dépassement au sud du marais de Tuburi sans régler certainement la question hydrographique s'est relié à lui. Ceci a été accompli par capitaine Lenfant en 1903. Il est monté le Kebbi et a découvert l'automne de Lata, continuant vers le haut du fleuve à son point d'issue de Tuburi. Croisant les marais il a trouvé et a dirigé le fleuve étroit See also:menant au Logone. Économiser pour le porterage autour de l'automne de Lata le voyage entier de la bouche du Niger vers le lac le Tchad a été fait par l'eau. Le Benue à proximité de Yola a été tracé en 1903-1904 par une commission Anglo-Allemande de frontière. À compter de 1904 que le Français a entrepris des travaux sur le Niger entre Bamakowhence là est communication ferroviaire avec le Senegaland Ansongo en vue d'approfondir le canal et de déboucher sur la navigation. Dans 1910 les See also:Anglais ont commencé à draguer par l'See also:objet d'obtenir à partir de la bouche du fleuve à Baro une profondeur minimum de 6 pi.

de l'eau. 'capitaine Claud Alexander est mort de la fièvre au Nigéria nordique sur le 30ème novembre 1904. Son frère, Lieut. Boyd Alexander, dans une expédition suivante à travers l'Afrique a été assassiné dans See also:

Wadai sur et d'avril 1910. Parc d'See also:AuTH0RITIEs.Mungo, voyages 'dans les zones intérieures de l'Afrique. . en années 1799, 1796 et 1797 (Londres, 1799). Une annexe géographique par Major James Rennell récapitule l'information puis disponible au sujet du Niger. R. et J. Lander, See also:journal en expédition pour explorer le le cours et arrêt du Niger. . (3 vols. Londres, 1833); H. Barth, voyages et découvertes en Afrique centrale du nord et.

. vols. iv. et v. (Londres, 185g-1858); See also:

GEN. J. S. Gallieni, d'exploration du Haut Niger de See also:mission. . (Paris, 1885); E. Caron, De See also:Saint See also:Louis de Timbouktou gauche; Francaise de cannoniere de dune de voyage (Paris, 1891); M. Hourst, Sur le Niger et paye DES Touaregs (Paris, 1898), la traduction en anglais, entreprise française en Afrique. . . Exploration du Niger (Londres, 1898). Les références politiques en ce See also:livre sont marquées par hostilité jalouse aux Anglais.

See also:

Colonne. J. K. Trotter, Les Sources Du Niger (Londres, 1897); Monsieur H. H. Johnston, "Le Delta Du Niger," Proc. R.g.s. (Décembre 1888); Monsieur F. See also:Lugard, "une expédition à Borgu sur le Niger," Geo. Jnl. (septembre 1895); E. Lenfant, Le Niger; ouverte de voie un See also:africain d'empire de notre (Paris, 1903), principalement une démonstration que les rapids de Bussa ne sont pas une barre absolue à la navigation.

Les livres antérieurs traitent presque entièrement le Niger. Pour le Benue voyez, sans compter que les voyages de Barth, A. F. Mockler Ferryman, vers le haut du Niger; Récit de mission de Claude Macdonald principal vers le Niger et les fleuves de Benue. . . (Londres, 1892); L. Mizon, "rivieres confluents Kadel et Mambere de DES d'Au de la La Ben6ue d'Itineraire de la source de" et d'autres papiers à Taureau. Soc. Geog. Paris pour 1895 et 1896; C. Maistre, Au central Niger (Paris, 1895) du l'Afrique du Congo de See also:

travers de A; E. Lenfant, itinéraire du Tchad (Paris, 1905) de Grande de La; Colonne.

L. Jackson, "l'expédition Anglo-Allemande de frontière au Nigéria," Geo. Jnl. (juillet 1905); P. A. Talbot, "travail d'aperçu à côté de l'expédition d'oison d'Alexander: Le Nigéria nordique 1904-1905, "See also:

idem (février 1906); Boyd Alexander, du Niger vers le Nil, vol. i. (Londres, 1907). Les livres bleus britanniques, la See also:correspondance concernant la construction ferroviaire au Nigéria (1905) et davantage de correspondance, &c. (1909), contiennent des informations sur le navigability du Niger inférieur et du Kaduna. Les meilleures See also:cartes sont ceux éditées par les bureaux français et britanniques de See also:guerre; un See also:atlas du voyage les rapides aux. de du Niger de Tombouctou de Boussa en 50 feuilles sur l'échelle de 1: 50.000, par Lieut. Hourst et d'autres, ont été édités à Paris en 1899. (F.

R.

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