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RELIGION DE NIAHOMMEDAN

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À l'origine apparaissant en volume V17, page 414 de l'encyclopédie 1911 Britannica.
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See also:

RELIGION DE NIAHOMMEDAN . La See also:loi et l'utilisation See also:des See also:bases religieuses dans See also:le See also:perpetuity (waqf, See also:mortmain) sont devenues aussi importantes dans l'Islam que See also:les dotations monastic en Europe médiévale, et de telles bases ont tendu pareillement à absorber la plupart de la See also:richesse nationale. C'était la seule manière sûre de prévoir le posterity. Une See also:base pieuse pourrait être érigée de telle manière qu'ou tellement de ses fonds soyez payé annuellement dans le perpetuity aux descendants du monteur, ou See also:ces descendants seraient employés comme fonctionnaires de la base. Quand il est devenu impossible que le See also:caliph mène les personnes personnellement dans la prière dans le See also:mosque, il a délégué à See also:cette See also:partie à lui les fonctions d'See also:Imam. à l'autre, par conséquent appelées l'imam (q.v.). Naturellement, puis, la nomination de l'imam se trouverait avec la règle suprême. Ce les prises des prières quotidiennes dans le mosque See also:principal (jami d'See also:Al d'Al-masjid ') See also:soutenu par la règle où le service de See also:vendredi est tenu, mais dans les mosques plus petits séparés établis par chaque communauté la communauté choisit son propre imam. En ce qui concerne le service de vendredi, les écoles de la loi sont en désaccord quant à la nécessité de la présence d'un imam désigné par le See also:gouverneur en See also:chef. Mais l'imam devrait certainement faire mention de la règle dans son See also:sermon et prier pour lui. Aux prières occasionnelles, de ce See also:type pour la See also:pluie, &See also:amp;c., la présence d'un imam désigné par le gouverneur n'est pas nécessaire. L'imam nomme le muaddhin, l'annonceur de l'See also:heure de la prière du See also:minaret, et tous les deux ont une réclamation sur le trésor d'état.

Un autre See also:

bureau s'est exercé si possible par le caliph, mais très fréquemment déléguée à un See also:certain haut dignitary, tel que l'héritier au caliphate ou un See also:prince, était la conduite de la See also:caravane de pélerinage à Mecca et à dos. Parfois ce See also:fonctionnaire, appelé l'See also:amir-Al-See also:hajj, a été aussi bien nommé imam. Il a alors mené toutes les cérémonies de pélerinage chez See also:Mecca. Quand l'extérieur des villes où il y avait un See also:cadi il a exercé également au-dessus de la caravane les droites d'un See also:juge. Loi de See also:Mahommedan (q.v.) est traité eparately. Ici, encore, comme jugeant est un See also:devoir du caliph, un cadi est le délégué, ou, quand AP-Gadl. s'est dirigé par un See also:vizier ou un gouverneur, un délégué de son délégué. Il examine dans des conflits apportés avant qu'il et impose ses jugements, il appelle des administrateurs des domaines des mineurs, l'aliéné, &c.; il dirige la propriété de waqf des mosques et des écoles dans sa See also:zone et inspecte des routes et des bâtiments de public; il observe au-dessus de l'exécution des volontés; il inflige les pénalités légales dues pour See also:apostasy, négligence des fonctions religieuses, refus pour payer des impôts, See also:vol, adultère, outrages, See also:meurtre; il peut infliger les pénalités de l'emprisonnement, amende, See also:punition corporelle, la mort; s'il n'y a aucun imam, il peut exécuter son devoir, en tant qu'en fait bidon n'importe qui qui a la See also:connaissance requise. Mais il devrait noter que tout ceci se tient seulement de l'état des musulmans un-europeanized. Pour l'existence d'une armée dans l'Islam, il y a deux raisons, la See also:guerre sainte (See also:jihad, q.v.) contre des unbelievers sans état l'armée, et la suppression de la rébellion en dedans. See also:Sous l'See also:ordonnance d'See also:Omar la communauté entière a été pré servie et a employé comme arme pour la soumission du monde à l'Islam, et chaque musulman masculin apte était théoriquement un See also:homme de combat, une partie de la See also:milice nationale. Cette armée a été divisée en See also:corps situés dans les terres conquises, comme armées de métier, où ils sont par la See also:suite See also:venus pour former les colonies militaires dans de grandes See also:camp-villes. Les See also:pays occupés ont dû les soutenir, et ils ont été liés pour rendre le service militaire à tout moment. Mais pendant que l'idéal d'Omar décomposait avant des faits l'utilisation des troupes See also:mercenary et See also:slave a finalement augmenté; bien que là toujours ait continué dans les armées musulmanes agissant contre des unbelievers par proportion de See also:volontaires non payés un See also:salaire fixe mais subventionnés par l'état des fonds de pauvre-See also:taux et d'See also:alms.

Les généraux ont été nommés par le caliph, et ont eu l'une ou l'autre autorité illimitée à agir en tant que ses représentants, See also:

paix de conclusion, agissant en tant que cadi et imam, distribuant le See also:butin; ou étaient restreints dans des See also:limites, par exemple à mener See also:simple des troupes et à continuer des opérations militaires. Ils, à leur See also:tour, ont nommé leurs subalternes; ce principe de donner de pleins pouvoirs principaux et pleine responsabilité était très généralement appliqué dans l'Islam. Il était commandé naturellement par l'espionnage du système postal. Car la guerre par une See also:puissance musulmane est essentiellement guerre sacrée, les règlements du jihad doivent être considérés ici. Unbelievers doit d'abord être invité à embrasser l'Islam et, s'ils suivent un See also:livre sacré et ne sont pas des idol-worshippers, est donné un choix entre (a) les musulmans devenants; ou (b) soumettant aux musulmans et entrant sur un traité avec eux de la See also:protection et de l'See also:hommage; ou (c) combat. S'ils acceptent l'Islam, les leurs vies, familles et propriété sont bloquées, et elles font dorénavant partie de la communauté musulmane. La capacité de l'Islam de créer un sentiment See also:commun entre les courses fortement différentes est un de ses dispositifs plus saisissants. S'ils soumettent et entrent sur des relations de traité, ils payent un See also:scrutin-impôt, pour lequel leur sûreté personnelle est assurée, et assument un See also:statut certainement inférieur, n'ayant aucune citoyenneté technique dans l'état, seulement l'état des clients protégés (dhimmis). S'ils choisissent de combattre, la See also:porte du repentance est ouverte, même lorsque les armées sont face à face. Mais après que la défaite leurs vies soient confisquée, leurs familles sont exposées à l'esclavage, et à toutes leurs marchandises à la saisie. Elle est ouverte de See also:souverain l'un ou l'autre pour les mettre à la mort; ou pour les asservir; ou pour leur donner leur liberté; ou pour les échanger pour le See also:ransom ou contre les prisonniers musulmans. La volonté souveraine choisissent ce qui est le meilleur pour l'Islam.

Quant à leurs familles et richesse, le bidon souverain les libèrent seulement avec le consentement de l'armée qui les a capturées. Apostates doit être mis à la mort. Quatre cinquièmes du butin après une See also:

bataille va à l'armée de conquête. L'See also:art technique de la guerre semble avoir été peu étudié parmi des musulmans; ils ont des traités sur le See also:tir à l'See also:arc mais très peu sur la See also:tactique. Leurs auteurs identifient, cependant, la différence essentielle entre les méthodes européennes et persanes de See also:remplissage dans les See also:lignes solides et de tenir la See also:terre obstinément, et méthode d'Arabe et de See also:Berber d'attaques et de retraites de vol par des See also:nuages de See also:cavalerie. Par conséquent, on expliqué, la See also:coutume s'est développé d'employer une masse des mercenaries européens comme See also:noyau et rassembler-See also:point fixes. Les armées musulmanes tôt, aussi, avaient employé la See also:charge pleine et See also:ferme, qui a pu avoir été le See also:secret de leur succès. Pour un des plus grands puzzles de l'See also:histoire est la cause qui a changé les essaims erratiques et untrustworthy des cavaliers See also:arabes avec leur stratégie enfantine en légions jamais-victorieuses des premiers caliphs. Ils certainement ont appris rapidement. Byzantium et See also:Perse leur ont enseigné l'utilisation des See also:moteurs militaires et du camp indélogeable. Avant qu'ils avaient été, aux meilleurs, simples chevaliers avec la See also:courrier-See also:chemise, See also:casque, épée et See also:lance. Bowmen, aussi, ils ont employé, mais l'utilisation principale de l'arc semble être venue avec les See also:Turcs. La See also:gloire de l'éducation musulmane était son système d'université, qui a alimenté l'étude plus élevée et n'a pas servi les besoins journaliers.

Son système primaire était très pauvre, presque inexistant '-; 6ducadon. et éducation technique n'a été jamais identifié dans l'Islam. Des professeurs primaires ont été dédaignés comme ignorants et idiots. Apparemment, si nous pouvons faire See also:

confiance aux nombreuses histoires de à quel point les hommes ignorants installés pour eux-mêmes, là n'étaient aucune commande d'eux par l'état. Leurs élèves étaient jeunes seulement; ils ont enseigné les rudiments de la See also:lecture, du See also:Koran, du See also:catechism, de la prière, de l'écriture et de l'arithmétique, mais très de peu du dernier. L'éducation technique a été donnée par See also:dore par leur système d'apprenti, arts d'enseignement et métiers mécaniques. C'était instruction véritable, mais n'était pas aussi considéré; elle a été considérée plutôt de même que les mystères et les secrets de la maçonnerie opérative. Elle a produit des artisans de caractère indépendant, mais pas des artistes. Ainsi il n'y avait aucune distinction entre l'architecte et le constructeur; il n'y avait aucune See also:sculpture; et peignant, autant qu'elle a disparu, était comme le découpage, un métier. Toute l'éducation musulmane d'université, comme toute la science musulmane, a tourné autour de la théologie. Il y avait, apparemment, seulement deux avec la mort de Mahomet ont commencé le développement et la codification de la loi musulmane. Elle était au See also:premier entièrement See also:pratique. Des See also:cas ont dû être décidés, et les décider là étaient, premier, le Koran; deuxièmement, si rien l'See also:annonce rem n'était trouvé dans le Koran, il y avait les décisions du prophète; troisièmement, si c'échoués, là étaient le droit coutoumier de See also:Medina; et, quatrièmement, s'il, à leur tour, a échoué, le bon See also:sens du juge, ou des See also:capitaux propres.

Phoenix-squares

Une connaissance des décisions de Mahomet est venue ainsi pour être de grande importance, et des disques de telles décisions ont été ardemment cherchés et préservés. Mais c'était simplement une partie d'un See also:

mouvement et d'une tendance beaucoup plus larges. Comme parmi les peuples primitifs en général, la coutume et l'utilisation ont toujours été efficaces parmi les Arabes. Les manières des pères, les vieux chemins, elles aiment See also:marcher. Très tôt là a surgi un reverence spécial pour le See also:chemin et l'utilisation (sunna) de Mahomet. Quoi qu'il ait fait ou ait dit, ou unsaid See also:gauche ou défait, et comment il l'a fait, est devenu de la première importance pour les musulmans pieux, qui agiraient de chaque manière de même que le prophète. Évidemment à cette See also:fin les compagnons immédiats de Mahomet ont pris des notes, dans la mémoire ou dans l'écriture, de son See also:entretien de table et énonciations sages, juste comme ils prenaient vers le See also:bas ou apprenaient par See also:coeur pour leur See also:usage privé les fragments séparés du Koran. Ses énonciations et doings, façons et coutumes, ses réponses aux questions la vie religieuse et See also:foi, surtout ses décisions dans des conflits légaux, sont venus pour être enregistrés sur les feuilles impaires dans des cahiers privés. C'était le commencement de l'énorme littérature des traditions (hadith) dans l'Islam. Le See also:rassemblement et la préservation de ces derniers, qui était au premier privé, pour des conseils et edification personnels, finalement sont devenus un des armes les plus puissantes de la propagande See also:politique et theological, et ont coloré la méthode et le See also:tissu entiers de la pensée musulmane. Toute la connaissance a tendu à être exprimée du fait See also:forme, et chaque élément d'elle à tracer de nouveau, et donnée dans aux mots, derrière un certain maître ou à autre par une chaîne des émetteurs. Surtout là a accru vers le haut une énorme masse des énonciations évidemment forgées mises dans la bouche de Mahomet. À chaque crise politique ou theological importante chaque partie inventerait et mettrait dans la circulation une tradition de lui, soutenant sa vue. Par une étude de ces derniers des "énonciations" catégoriquement opposées il est possible de reconstruire les différentes polémiques de l'Islam dans le passé, et de découvrir ce que chaque partie a considéré comme l'essence de sa position.

Le premier rassemblement des traditions était pour des buts privés, et la première publication traitant eux était légale. C'était le Muwatla 'de l'See also:

ibn Anas (d. 795), See also:juris d'un corpus basés en partie sur des traditions, et une protestation de Malik dans ses méthodes contre le caractère trop spéculatif des livres de la loi de See also:Canon qui l'ont précédé. Ensuite sont venues les collections de deux types différents. La sorte première a été arrangée selon les compagnons de Mahomet, sur lequel l'autorité les traditions ont été transmises; après chaque See also:compagnon sont venues les traditions allant de nouveau à lui. Le meilleur exemple connu de cette sorte est le Musnad de l'ibn Hanbal d'Ahmad. L'autre sorte, appelée Mu.Fannaf (classifié), contient des traditions disposées en chapitres selon leurs thèmes. Que de Bukhari est le plus célèbre, et est chargé de donner une base traditionnelle pour un système complet de loi de Canon; ses rubriques sont ceux d'un tel système. Un autre est celui d'Al-Hajjaj musulman d'ibn, qui a payé moins d'atteption aux aspects légaux et plus à l'exactitude minutieuse. Il y a beaucoup d'autres de plus ou moins d'See also:acceptation et de canonicity. Le livre de Bukhari apprécie un reverence seulement en second See also:lieu à celui du Koran. Mais en toutes ces publications l'See also:objet primaire était épurer la masse des traditions des augmentations forgées et de donner au believer une base solide pour sa connaissance des See also:utilisations du prophète, si pour son See also:personnel ou pour l'usage public. Ces deux sortes étaient un développement normal.

Dans la communauté musulmane il y avait des premiers étudiants de la tradition proprement dits dont l'intérêt s'étendent dans le rassemblement, l'essai et la See also:

transmission, pas dans la See also:combinaison, la systématisation et l'élucidation; à qui préférence devait prendre un rapport simple du prophète et s'appliquer l'à un cas, sans reasonings ou questionings. Et il y avait des étudiants de loi de Canon qui ont été intéressés plutôt dans le système et les résultats, et qui, alors qu'ils employaient des traditions, les ont employées seulement à une extrémité et ont insisté pour l'application See also:libre des principes spéculatifs. Le conflit du See also:futur devait être entre ces traditionalistex, d'une See also:part, et rationalistes, de l'autre; et le résultat devait être un See also:compromis. Avec le See also:champ large de la conquête musulmane un autre élément a hérité le développement. C'était une loi romaine, que le jurist musulman a trouvée au travail dans les See also:provinces romaines conquises et dans les See also:palais de See also:justice desquels elles sont allées à l'école. Il doit être rappelé que les armées arabes n'aient pas été les hordes dévastateurs; ils ont identifié le besoin des exceptions là où exceptionnelles de loi et d'See also:ordre à cette règle, l'académie de See also:Mamun (813-833) chez See also:Bagdad, et le See also:hall de la sagesse du See also:Fatimites au Caire (10041171); tous les deux sont expliqués par leur environnement. Des See also:temps les plus courts, les disciples indépendants les classes instruites dans les endroits communs de mosquesthe de la réunion _ pour le communityand ont donné à leurs pupilles les certificats personnels. Leurs sujets étaient la lecture et l'interprétation du Koran; le corps des traditions du prophète; le système de là déduit de la théologie; la loi de Canon. Mais l'interprétation du Koran a impliqué des études grammaticales et lexicographiques du premier arabe, et par conséquent de la littérature arabe tôt. La théologie est venue pour impliquer des études méta-physiques et logiques. La loi de Canon a exigé l'arithmétique et le See also:mensuration, See also:astronomie pratique, &c. Mais ces le See also:bout étaient strictement See also:auxiliaire; l'objet de l'instruction était principalement de donner la connaissance de la valeur pendant la vie du prochain monde, et, secondairement, aux théologiens d'alerte et aux See also:avocats. La médecine était dans des mains juives et chrétiennes; la See also:technologie, l'See also:architecture, &c., avec leurs bases mathématiques, étaient des métiers.

Alors cette instruction a été graduellement subventionnée et organisée par l'état, ou dotée par des individus. Comment tôt ceci a eu lieu est incertain. Mais le See also:

professeur individuel, avec son certificat, est resté l'objet de l'étudiant; il n'y avait rien correspondant à nos degrés généraux. Troisièmement, des établissements éducatifs sont venus pour être équipés des bourses d'See also:argent ou en nature pour les étudiants, le premier exemple de ceci est généralement attribué à See also:Nishapur (Naisabur) en 1066; mais il est bientôt devenu général dans le système et a eu les moyens des moyens de commande et de centralisation. Une See also:finale, et un plus important, caractéristique étaient voyager large des étudiants "à la See also:recherche de la connaissance." Facilité par l'Arabic comme See also:langue universelle de l'étude, les étudiants ont voyagé du professeur au professeur, et de See also:Samarkand à l'Océan See also:atlantique, recueillant sur leurs centaines de manière de certificats personnels. Des disciples ont été ainsi restés en See also:contact partout le monde musulman, et l'unité intellectuelle a été maintenue. À l'égalité démocratique de l'Islam, dans laquelle l'esclave d'aujourd'hui peut être le premier See also:ministre du demain, il y a une exception exceptionnelle. Les descendants le du prophète et de ses See also:parents (la See also:famille de Hashim) Sayyids. formé et formez une See also:classe spéciale, tenu dans le reverence social, et gardé de la contamination et des See also:dommages. Ce sont les sayyids (seigneurs), et des registres généalogiques d'elles sont soigneusement préservés. Ils sont de tous les degrés de richesse et de pauvreté, mais sont gardés légalement des mesalliances avec des personnes d'origine ignoble ou de métier équivoque. Leur See also:influence est très grande, et dans quelques régions du monde musulman ils ont la position et le reverence des See also:saints, voient Von Kremer, DES de Culturgeschichte See also:oriente, basé en grande partie sur Ahkam de Mawardi, See also:transport. en partie par Ostrorog; Transport de McG. de Slane's.

d'Ibn Khaldun, Prolegomenes; See also:

Ruelle, façons et coutumes des Egyptiens modernes; R. F. See also:Burton, pélerinage à Mekka; Snouck Hurgronje, Mekka; See also:Hughes, See also:dictionnaire de l'Islam -; Juynboll, De Mohammedaansche Wet; See also:Macdonald, développement de la théologie musulmane, &c. Pour des femmes dans l'Islam, voir le See also:HAREM. (D. B.

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